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L.G.V. :
découvrez
le comble du comble ! |
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La LGV Bordeaux-Toulouse salopera tout bien comme il faut, mais en plus, nous serons taxés, donc pigeons jusqu'au bout du bout. A lire. |
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La LGV Bordeaux-Toulouse va pourrir la vie de nombreux habitants dans et autour de nos villages.
Mais comment se positionnent les candidats aux élections législatives par rapport à ce projet de demeurés ?
Pour le moment, la candidate du Nouveau Front Populaire, Corinne Martinez, affiche clairement sont opposition, ainsi que Sophie Mette, candidate des macronistes.
Le RN n'en parle pas, ils sont POUR cette ligne depuis 2017.
Les socialistes sont aussi à fond sur ce projet, en très grande majorité, à cause de l'obstination de Rousset, Président du Conseil Régional d'Aquitaine.
Dilemme : que va alors pouvoir obtenir la candidate NFP face à Rousset ? Ce ne sera pas facile pour elle...
N'oubliez pas, nos communes sont nombreuses à faire partie de celles qui vont en plus payer un impôt pour une ligne de chemin de fer qui ne fera que traverser le coin sans s'arrêter (voir ci-dessous).
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• Merci, Rousset.
Grâce à la magie d'Internet : on y apprend qu'en terme médical, la "LGV" est l'abréviation d'une maladie vénérienne nommée la LymphoGranulomatose.
A la différence le la LGV-chemin de fer (la "Ligne à Grande Vitesse" que l'on nous impose), cela se soigne apparemment assez vite. Par contre, dans nos contrées, la LGV ne se soignera pas en quelques semaines, mais s'installera pour toujours...
Nous avons donc la locomotive,
tractant son paquet de wagons...
"Et pire du pire, nos villages vont payer localement des impôts supplémentaires pour un transport dont ils ne bénéficierons pas."
Parfois, les mots et les phrases mesurés n'ont plus de sens et c'est uniquement l'exaspération qui prend le dessus.
Cette ligne TGV inutile, voulue par Rousset, Président pénible du Conseil Régional d'Aquitaine, va saloper des régions entières sans que même les habitants de ces régions puissent réellement en profiter, puisque les arrêts seront très peu nombreux.
Et en même temps, nos villages manquent cruellement d'accès à des lignes de chemins de fer classiques, un comble. 
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Ils n'aiment pas non plus la LGV.
Déjà, dans le passé, la ville de Bordeaux avait désapprouvé sévèrement la LGV.
En novembre 2021, c'était au tour du Conseil Départemental de la Gironde, lors de sa séance plénière,
d'indiquer sans détour qu'il était hors de question de financer tout ça, comme l'affirmait avec force Jean-Luc Gleyze, Président du Département. |
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Pire ! Les bons pigeons que nous sommes vont payer des impôts particuliers prévus rien que pour nous uniquement pour ce projet, pendant 40 ans. Certaines communes vont donc voir leur taxe foncière spéciale augmenter de 300 % !
Merci, encore, encore, c'est trop bon.
Tout ça pour une ligne de chemin de fer qui ne fera que passer sur nos communes sans s'arrêter.
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• Ne pas poser leur cul trop longtemps.
Et en plus, les initiateurs de ce beau projet, Conseil Régional en tête, donc, osent dire que c'est pour le bien des gens, que nous sommes égoïstes, que nous ne pensons qu'à notre bien-être, qu'il faut se sacrifier...
Ah, ils sont gonflés, mais pas qu'à l'hélium, ces gensses !
Une région magnifique sera coupée en deux pour quelques cadres qui feront la navette entre Bordeaux et Toulouse et qui ne veulent pas poser leur cul trop longtemps dans un train, voilà de ce qu'il s'agit.
Ce projet a déjà plongé plusieurs fois dans les années passées, recalé et encore recalé pour cause de financement impossible, mais ça ne fait rien, il insistent.
• Qui se bat ?
Vous trouverez facilement sur le net de très nombreux articles concernant ce truc malodorant, ainsi que les oppositions et combats qui existent pour y faire face.
Quant aux nombreuses associations participant à ce combat, il y en a plusieurs, mais nous pouvons citer par exemple l'association locale LEA qui s'est battu dès le début contre ce projet, nous le répétons, d'allumés du grenier. |
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