• L'usure de la modernité.
Le nombre de permis de chasser baisse chaque année et il faut se tourner vers des pratiques très ancrées dans le paysage (voir ci-dessus notre vidéo : Jour de pluie à la cabane) pour voir la chasse résister à l’usure de la modernité, de l’urbanisation et au fait que les ruraux se transforment en citadins accomplis.
On le sait pourtant, la ruralité ne pourra pas exister sans les chasseurs.
Au risque de faire hurler les anti-chasses et de déplaire gravement aux défenseurs des animaux.
Les chasseurs sont indispensables à la sauvegarde de l’environnement et des paysages déjà suffisamment maltraités par l’agriculture intensive et les constructions qui se multiplient dans les villages.
C’est une évidence !
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