FOOD-TRUCKS :  
 
un lien important dans les vllages ?
 

Quoi c'est un food-truck ? C'est important pour un village ? Réponses ci-dessous.

Et à la fin de cette page, histoire de dire. Bien entendu, non, nous n'avons pas été payés pour cet article. On ne connait même pas les propriétaires des food-trucks qui passent dans nos village, et ils ne nous ont d'ailleurs rien demandé. Point-barre.

   

 

 

• "Foude Treuque" ?

On va traduire à la hache : "Food-Trucks" pourrait être traduit par "fourgons à nourriture", voilà, c'est fait.
Tout le monde a vu sur les places de nos villages ces fourgons ou caravanes qui vous proposent des pizzas, des hamburgers, des sushis et d'autres trucs qui font saliver quand on attend pour les manger.
De la restauration ambulante, quoi.

Les Food-Trucks créent certainement un souffle de vie éphémère. Dans certains villages, ils amènent, en plus de leurs produits, une petite lumière au milieu d'une place souvent déserte, surtout en hiver. Leurs tarifs ne sont pas délirants, on cause un petit peu avec le patron ou la patronne et ce petit moment convivial fait oublier qu'après la réforme des retraites, les rois d'en haut s'attaquent au chômage et continuent à dépecer les gens qui se prennent gifles sur gifles.

 

 

• Et qu'en pensent les autres commerçants ?

Ils en pensent quoi, les autres commerçants ? Il y aurait concurrence déloyale ou pas ? Nous en avons discuté avec quelques-uns et ils ne pensent en aucune façon que c'est de la concurrence, surtout que la plupart du temps, ils ne vendent pas les produits proposés par les Food-Trucks.
Et puis, hein ? Le commerce attire le commerce.
Certains échos ont pu nous revenir de ci-de là évoquant des différents entre des commerçants sédentaires et de la restauration ambulante, mais jamais rien de bien sérieux, du moins à notre connaissance.
Dans un des villages, c'est même un commerçant qui nous a conseillé un Food-Truck.

 

 

• Qui décide et combien ça coûte ?

Ce sont les municipalités qui étudient les demandes et donnent l'autorisation aux commerces ambulants d'exercer leur profession. Le propriétaire doit donc obtenir une "autorisation d'occupation temporaire" (AOT) auprès de celles-ci.
De fait, les mairies font la pluie et le beau temps dans ce domaine, à raison ou à tort. Les critères d'autorisation vont passer par l'étude du nombre de food-trucks déja présents dans le village, du risque éventuel de voir une concurrence avérée mettant en danger un commerçant local sédentaire, etc.
Nous avons eu vent de certains mécontentements de Food-Trucks dans un village du Bazadais, mais rien de bien formel.

 
 
     
     
 


 
 

Le saviez-vous : le fourgon le plus recherché pour être transformé en Food-Truck est le HY de Citroën. Recouvert de tole ondulée, il servait autrefois de panier à salade, mais était aussi présent dans des centaines de corps de métiers (artisans, commerçants, agriculteurs, etc.). Des milliers d'exemplaires partirent à la casse à la fin des années 80, mais il est maintenant vendu à prix d'or, même dans un état approximatif. Le machin avait seulement 3 vitesses, il fallait faire la vidange tous les 5000 kms et pourtant son retour sur le devant de la scène est là et bien là.
Sa bouille sympathique, peut-être ?

 
     
     

 

 

• Hygiène, confiance, komenkonfé ?

Plusieurs amateurs locaux de Food-Trucks n'ont pas constaté de problèmes d'hygiene ou de nourriture abimée après leurs commandes et, très souvent, les Food-Trucks ont une clientèle de fidèles, ce qui est une première preuve de sérieux. Bien sûr, tout peut arriver, mais pas plus que dans des commerces sédentaires, grandes surfaces y compris.
Seule contrainte, dans la plupart des cas, il vaut mieux faire sa commande à l'avance, sinon il y aura attente, ce qui est logique, car il faut faire préparer, faire cuire, etc.

Voilà, tout est dit et longue vie à vous.

   
 

Nous avons essayé
un food-truck
;)

 
 

On le redit pour les suspicieux-bilieux, pour les tristounets du neurone : on ne connaît pas le Food-Truck testé, nous avons payé nos achats anonymement et eux, ils ne nous avaient rien demandé.

Par ailleurs, nous avons essayé ce Food-Truck de la manière la plus simple qui soit, c'est à dire en lui achetant des plats et en les comparant avec des plats similaires achetés dans un hypermarché en banlieue bordelaise.

Nous parlerons aujourd'hui de sushis et donc de SushiZ'n et son Food-Truck n°4 qui passe à Cabanac, Saint-Symphorien, Saugnac-et-Muret et Pissos, mais qui, malheureusement, ne vient plus à Saint-Symphorien.
Les personnes qui ont testé les sushis n'en avaient jamais mangé (si, si, ça peut), ce qui corse encore un peu plus l'affaire.

On va faire court : comparaison édifiante et sans appel. Les sushis de l'hypermarché étaient entourés d'un riz pâteux et le poisson nous avait semblé tristounet, sans saveur, pâlichon du genou, quoi.
Par contre, le jour où nous les avons dégustés, les sushis de Sushi'Zn étaient agréables et fins dans la bouche.

Ajoutons à celà que ce commerçant, très convivial, n'a absolument pas poussé à la vente, ce qui fait toujours plaisir.
On connaît tous malheureusement le "il y en a un peu plus, je vous le laisse ?".
En plus, pour accéder au Food-Truck, il vous faudra monter sur un escabeau qui vous donnera un point de vue intéressant sur la place avec un sentiment de supériorité incroyable :)

 

 

Comment ?
Essayer un autre food-truck ? Oui, mais bon, on ne va pas s'empiffrer non plus pour faire des tests plus ou moins caloriques ! On fait ce qu'on peut.

 
     

 

 

 

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