Dos d'âne, le délire.
Les municipalités
se lâchent.
 

 

 

• Municipalités punitives.
Certaines municipalités sont très punitives, ou bien n'ont pas les mêmes notions que leurs administrés de ce que sont les centimètres.

En effet, on peut comprendre que de systèmes destinés à ralentir les véhicules soient nécessaires car sinon, il ne faut pas rêver, les trois-quarts de tout le monde ne respecterait pas vraiment les limitations de vitesse dans au décret dans les villes et les villages.

 

Un jugement important et définitif vient d'être rendu par la Cour administrative de Marseille qui vient de juger que les ralentisseurs doivent être conforme au décret du 27 mai 1994. Nul doute que ce cas, qui ne concernait que le Département du Var, va faire jurisprudence.

Cela concerne des milliers et des milliers de ralentisseurs dans le pays. A suivre.

 
     

 

 

Très bien, une fois, cela écrit, est-il vraiment utile de construire des dos d'âne d'une hauteur invraisemblable ?

Quel est le projet caché, au juste ?
• Faire valdinguer tout ce qui est dans le véhicule, même en respectant la fameuse limite des 30 km/h ?
• Scotcher le caniche familial au plafond ?
• Attirer l'attention des fabricants de suspension pour passer un contrat avec eux ?
• Empêcher les enfants de manger une glace dans la voiture, quitte à ce qu'ils avalent la glace plus le batonnet et trois doigts avec ?
• Inciter les automobilistes à acheter des moteurs plus puissants pour arriver à gravir le dos d'âne ?
• Entrainer les passagers au saut périlleux arrière avec double salto ?
• Permettre aux amoureux de la nature de cueillir des coquelicots pendant la montée du ralentisseur ?

 

     
    Les dos d'âne disparaitraient-ils
au profit des dos de girafe ?
Image NON générée par une I.A.
 

 

 

• Sérieux ?
Hors plaisanterie, installer des dos d'âne trop hauts ne sert à rien sinon à étouffer parfois carrément la circulation comme à Landiras. Les poids-lourds en sont la démonstration quotidienne.

Selon la norme, les ralentisseurs de type dos d'âne doivent répondre à certaines caractéristiques. Le dos d'âne est de forme circulaire, sa hauteur ne doit pas dépasser 10 cm et sa longueur 4m. Enfin, la saillie d'attaque doit être inférieure ou égale à 5 mm.

C'est la loi, soit. Mais rien n'empêche que le ralentisseur fasse un peu moins, n'est-ce pas. Et puis d'abord, est-ce que tous les ralentisseurs respectent cette loi ? Pas sûr, à vérifier.

 

 

• La chasse aux ralentisseurs.
Nous avons remarqué au moins deux lots de ralentisseurs carrément pénibles. Le premier lot se trouve à Cabanac-et-Villagrains, sur la route de Saint-Morillon et vous en trouverez aussi à Saint-Symphorien en face de l'Intermarché. Si vous en apercevez d'autres, nhésitez pas à nous en faire part.
Ce ne sera pas le Pokémon Go, d'accord, mais au moins, on saura.

 

 

Les municipalités tombent parfois dans l'excès contraire, après avoir parfois attendu trop d'années avant d'installer des ralentisseurs que demandaient pourtant les riverains depuis longtemps.
Nous avons bien conscience que certains dispositifs sont probablement plus coûteux que d'autres (par exemple, le feu tricolore avec capteur de vitesse à Sore, mais très efficace, par contre...), cependant les conducteurs ne sont pas des passeurs de drogue qu'il faut stopper à tout prix pour permettre à la maréchaussée de les rattraper sans peine.

     
 
On estime qu'en France,
un tiers des ralentisseurs
ne sont pas règlementaires.
 
     

 

 

• Des dispositifs dangereux, au final.
Sans souhaiter qu'on en revienne tout le temps aux coussins berlinois (les bouses roses carrées), moins pénibles pour les voitures mais glissants et dangereux pour les motos, on estime qu'en France, un tiers des ralentisseurs ne sont pas règlementaires. Et donc, au lieu de préserver la sécurité, c'est parfois du grand n'importe quoi : pare-chocs explosés, freinages en vrac, bruit, pollution, motos qui chutent, etc, etc.

La réponse des municipalités, même celles qui ne respectent portant pas la règlementation, est toujours la même : "ils n'ont qu'à aller moins vite".
Ben voyons, ils n'ont qu'à descendre de la voiture et la pousser, aussi. De toute façon, pas sûr qu'ils y arrivent, ça monte trop.

   
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  Dos d'âne, le délire.
Les municipalités
se lachent.
 

 

 

• Municipalités punitives.
Certaines municipalités sont très punitives, ou bien n'ont pas les mêmes notions que leurs administrés de ce que sont les centimètres.

En effet, on peut comprendre que de systèmes destinés à ralentir les véhicules soient nécessaires car sinon, il ne faut pas rêver, les trois-quarts de tout le monde ne respecterait pas vraiment les limitations de vitesse dans au décret dans les villes et les villages.

 

Un jugement important et définitif vient d'être rendu par la Cour administrative de Marseille qui vient de juger que les ralentisseurs doivent être conforme au décret du 27 mai 1994. Nul doute que ce cas, qui ne concernait que le Département du Var, va faire jurisprudence.

Cela concerne des milliers et des milliers de ralentisseurs dans le pays. A suivre.

 
     

 

 

Très bien, une fois, cela écrit, est-il vraiment utile de construire des dos d'âne d'une hauteur invraisemblable ?

Quel est le projet caché, au juste ?
• Faire valdinguer tout ce qui est dans le véhicule, même en respectant la fameuse limite des 30 km/h ?
• Scotcher le caniche familial au plafond ?
• Attirer l'attention des fabricants de suspension pour passer un contrat avec eux ?
• Empêcher les enfants de manger une glace dans la voiture, quitte à ce qu'ils avalent la glace plus le batonnet et trois doigts avec ?
• Inciter les automobilistes à acheter des moteurs plus puissants pour arriver à gravir le dos d'âne ?
• Entrainer les passagers au saut périlleux arrière avec double salto ?
• Permettre aux amoureux de la nature de cueillir des coquelicots pendant la montée du ralentisseur ?

 

     
    Les dos d'âne disparaitraient-ils
au profit des dos de girafe ?
Image NON générée par une I.A.
 

 

 

• Sérieux ?
Hors plaisanterie, installer des dos d'âne trop hauts ne sert à rien sinon à étouffer parfois carrément la circulation comme à Landiras. Les poids-lourds en sont la démonstration quotidienne.

Selon la norme, les ralentisseurs de type dos d'âne doivent répondre à certaines caractéristiques. Le dos d'âne est de forme circulaire, sa hauteur ne doit pas dépasser 10 cm et sa longueur 4m. Enfin, la saillie d'attaque doit être inférieure ou égale à 5 mm.

C'est la loi, soit. Mais rien n'empêche que le ralentisseur fasse un peu moins, n'est-ce pas. Et puis d'abord, est-ce que tous les ralentisseurs respectent cette loi ? Pas sûr, à vérifier.

 

 

• La chasse aux ralentisseurs.
Nous avons remarqué au moins deux lots de ralentisseurs carrément pénibles. Le premier lot se trouve à Cabanac-et-Villagrains, sur la route de Saint-Morillon et vous en trouverez aussi à Saint-Symphorien en face de l'Intermarché. Si vous en apercevez d'autres, nhésitez pas à nous en faire part.
Ce ne sera pas le Pokémon Go, d'accord, mais au moins, on saura.

 

 

Les municipalités tombent parfois dans l'excès contraire, après avoir parfois attendu trop d'années avant d'installer des ralentisseurs que demandaient pourtant les riverains depuis longtemps.
Nous avons bien conscience que certains dispositifs sont probablement plus coûteux que d'autres (par exemple, le feu tricolore avec capteur de vitesse à Sore, mais très efficace, par contre...), cependant les conducteurs ne sont pas des passeurs de drogue qu'il faut stopper à tout prix pour permettre à la maréchaussée de les rattraper sans peine.

     
 
On estime qu'en France,
un tiers des ralentisseurs
ne sont pas règlementaires.
 
     

 

 

• Des dispositifs dangereux, au final.
Sans souhaiter qu'on en revienne tout le temps aux coussins berlinois (les bouses roses carrées), moins pénibles pour les voitures mais glissants et dangereux pour les motos, on estime qu'en France, un tiers des ralentisseurs ne sont pas règlementaires. Et donc, au lieu de préserver la sécurité, c'est parfois du grand n'importe quoi : pare-chocs explosés, freinages en vrac, bruit, pollution, motos qui chutent, etc, etc.

La réponse des municipalités, même celles qui ne respectent portant pas la règlementation, est toujours la même : "ils n'ont qu'à aller moins vite".
Ben voyons, ils n'ont qu'à descendre de la voiture et la pousser, aussi. De toute façon, pas sûr qu'ils y arrivent, ça monte trop.

   
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